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La Divine Comedie Tome II: Le Purgatoire

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La Divine Comedie Tome II: Le Purgatoire
Название: La Divine Comedie Tome II: Le Purgatoire
Автор: Alighieri Dante
Дата добавления: 16 январь 2020
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La Divine Comedie Tome II: Le Purgatoire - читать бесплатно онлайн , автор Alighieri Dante

Oeuvre fondatrice de la po?sie italienne, ?pop?e po?tique et m?taphysique, ce voyage initiatique menant ? la clart? divine, s'ouvre sur la travers?e des neuf cercles de l'Enfer, sondant ? la fois la symbolique chr?tienne et les recoins les plus funestes de l'?me humaine.

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[36] Un des sept psaumes de la pénitence.

[37] En portant aux vivants leurs nouvelles, ou en priant pour eux, comme il promet de le faire parfois.

[38] Les âmes de ceux qui furent négligents et n’eurent pas assez de temps pour le repentir, à cause de leur mort violente, occupent la seconde terrasse de l’Antipurgatoire.

[39] Iacopo del Cassero, originaire de Fano, podestat de Bologne (1296-1297), se trouvait à Fano lorsqu’il fut appelé à Milan pour être podestat. Pour éviter les terres d’Azzo VIII d’Esté, marquis de Ferrare, qui était son pire ennemi, il voulut se rendre à Milan par Venise et Padoue. C’est dans le territoire de Padoue, «pays d’Anténor», à Oriago, qu’il fut surpris et assassiné par les sbires du marquis; on voit toujours sa sépulture dans l’église de Saint-Dominique de Fano.

[40] La Marche d’Ancône, qui va de la Romagne au nord, jusqu’au royaume de Naples, où régnait alors Charles II d’Anjou.

[41] Anténor (cf. la note 309 de l’Enfer) passait pour avoir été le fondateur de la ville de Padoue.

[42] S’il avait choisi, alors que ses persécuteurs l’avaient découvert à Oriago, de se diriger vers Mira, qui est sur la route de Padoue, Iacopo pense qu’il eût pu se sauver. Il suivit cependant une inspiration malencontreuse, en se dirigeant vers des marais, qui l’arrêtèrent dans sa marche, et où il se fit attraper par ses assassins.

[43] Buonconte de Montefeltre était le fils de ce Guido de Montefeltre, conseiller de la fraude, sur lequel cf. l’Enfer, note 259. Il conduisait les Gibelins d’Arezzo à la bataille de Campaldin, dans laquelle il trouva la mort, le 11 juin 1289. Dante avait combattu dans les range Florentins, dans cette même bataille.

[44] Campaldino se trouve dans le Casentin, qui est vallée supérieure de l’Arno. Archiano est un affluent de ce fleuve; et l’ermitage dont il est parlé est celui des camaldules de saint Romuald, près du joug de Falterona: ces deux noms sont mentionnés par le poète, saint Romuald et Paradis, XXII, 49, et Falterona au Purgatoire, XIV, 17.

[45] Là où disparaît le nom d’Archiano, parce que la rivière de ce nom se verse dans l’Arno.

[46] Pratomagno et la Giogana sont les deux massifs qui bornent la campagne de Campaldin.

[47] Pia dei Tolomei, de Sienne, femme de Nello dei Pannocchieschi, seigneur du château della Pietra, dans la Maremme. Son mari, désireux d’épouser Marguerite Aldo-brandeschi, trois fois veuve, avait fait tuer sa femme; il semble qu’il la fit jeter du haut d’une fenêtre de son château, en simulant ensuite un accident. Cet assassinat dut être perpétré entre 1297 et 1300.

[48] Benincasa de Laterina, juge à Arezzo, fut assassiné par Ghino di Tacco, de Sienne, personnage mentionné dans le Décaméron de Boccace, pour venger un parent que ce juge avait condamné, d’ailleurs justement.

[49] Guccio dei Tarlati, de Pietramala dans la région d’Arezzo, se noya dans l’Arno en poursuivant les Bostoli, ses ennemis.

[50] Frédéric, fils de Guido Novello, des comtes Guidi, tué un Bostoli de la famille mentionnée dans la note précédente, vers 1290. Selon les anciens commentateurs, celui de Pise est Farinata, fils de Marzucco degli Scorgiani, de Pise. Son père, vaillant chevalier, avait fini par entrer dans l’Ordre de Saint-François. Farinata ayant été tué par un certain Beccio da Caprona, son père prêcha dans son oraison funèbre la paix et le pardon, et vint baiser la main du tueur de son fils.

[51] Orso degli Alberti, fils de Napoléon Alberti, comte de Mangona (cf. Enfer, note 303), avait été tué par Alberto Alberti, son cousin.

[52] Chirurgien, chambellan de Philippe III le Hardi, roi de France. Louis, prince héritier de la couronne de France, étant mort en 1276, Pierre de la Brosse fit peser le soupçon d’empoisonnement sur Marie de Brabant, seconde femme du roi. Celle-ci s’en vengea en l’accusant plus tard de trahison en faveur du roi de Castille; et le roi Philippe le fit pendre, en 1278. Les expressions qu’emploie le poète au sujet de «la dame de Brabant» prouvent assez qu’il croyait Pierre de la Brosse innocent.

[53] Allusion à un vers de L’Énéide, VI, 373, par lequel la Sibylle répond à une prière indiscrète de Palinure: Desine fata deum flecti sperare precando, «abandonne l’espoir de faire fléchir le destin fixé par les dieux, à force de prières».

[54] Sordello, originaire de Goito dans le duché de Mantoue, trouvère du XIIIe siècle. Dante l’avait en grande estime, car il en parle aussi dans De vulgari eloquentia, I, 15; mais s’il l’a choisi comme personnage du Purgatoire, c’est sans doute parce qu’il était Mantouan, comme Virgile.

[55] En rédigeant le code des lois de Rome.

[56] Albert d’Autriche, fils de Rodolphe de Habsbourg empereur d’Allemagne de 1298 à 1303: il négligea les affaires d’Italie, comme son père.

[57] L’intention évidente qui a présidé au choix des noms de ces quatre familles est de montrer à quel point les maisons les plus nobles d’Italie sont divisées et ruinées par la guerre civile. La raison de leur choix n’est pas aussi sûre D’après les uns, il s’agit de familles rivales et qui luttaient pour se détruire: les Capulets et les Montaigus à Vérone (ce sont les deux familles auxquelles appartenaient Roméo et Juliette), les Monaldi et les Filippeschi à Orvieto. D’après les autres, le poète entend signaler la ruine des familles gibelines d’Italie, c’est-à-dire des propres partisans de l’empereur, qui abandonne sa cause et la leur: les Montecchi à Vérone, les Cappelletti à Crémone, les Monaldi à Pérouse et les Filippeschi à Orvieto. Cette explication paraît la plus logique mais se heurte à une difficulté de fait, car les Cappelletti étaient Guelfes.

[58] Comté dans la Maremme de Sienne, qu’assiégeaient à la fois, vers 1300, la ville de Sienne et les armées du pape.

[59] Rome s’entend ici comme siège de l’Empire, que Dante appelle de tous ses vœux, pour mettre une fin aux abus et aux empiétements de l’autorité spirituelle, rendus possible par la carence de l’autorité politique. Il faut ajouter cependant que ce passage doit avoir été écrit après 1305, date ou les papes avaient transféré leur siège à Avignon – en sorte que Rome était alors deux fois abandonnée.

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