La Marquise De Pompadour – Tome II – Le Rival Du Roi

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La Marquise De Pompadour – Tome II – Le Rival Du Roi
Название: La Marquise De Pompadour – Tome II – Le Rival Du Roi
Автор: Z?vaco Michel
Дата добавления: 16 январь 2020
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La Marquise De Pompadour – Tome II – Le Rival Du Roi - читать бесплатно онлайн , автор Z?vaco Michel

Le Rival du roi est la suite de La Marquise de Pompadour. Jeanne Poisson, devenue Madame d'Etioles, se retrouve prisonni?re du myst?rieux M. Jacques et du comte du Barry. Juliette B?cu, la fausse comtesse du Barry, devient, gr?ce ? un subterfuge, la ma?tresse en titre du roi. La pr?sentation ? la cour est imminente. Louis XV est par ailleurs convaincu que le chevalier d'Assas est l'amant de Jeanne et il le fait embastiller. Autour du roi s'agite une ?trange association ? laquelle participent son propre valet Lebel, des membres de sa garde, le futur cardinal de Bernis…

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– Absolvez-moi, mon père! car… je vais pécher!

– M. Jacques, en le voyant à ses pieds, se redressa et transfiguré, méconnaissable, avec un geste d’une indicible majesté, il prononça la formule sacerdotale:

– Ad majorem Dei gloriam!… Absolvo te in nomme Patris et Filii et Spiritus Sancti.

– Amen! répondit le baron en se frappant la poitrine avec une contrition parfaite.

– Maintenant, mon enfant, il me reste à vous faire deux recommandations importantes: la première, c’est d’oublier que je suis un père de notre sainte mère l’Église et de ne voir en moi que le modeste bourgeois que je parais être.

– Bien, monsieur, vous serez obéi, répondit le baron en se relevant.

– La deuxième, c’est de ne jamais reconnaître plus tard la personne dont je viens de vous entretenir. Quel que soit l’endroit où vous la retrouviez, en quelque circonstance que ce soit… et si haut placée qu’elle soit… vous ne la connaissez pas, vous ne l’avez jamais vue… à moins d’ordre contraire… Jurez-le, mon enfant?

– Je le jure! fit le baron.

– C’est bien, je n’ai plus rien à faire ici, je me retire… N’oubliez pas que je ne suis qu’un pauvre bourgeois, traitez-moi en conséquence dès maintenant, fit M. Jacques qui se leva et reprit son petit air modeste.

– Encore un mot, monsieur, je vous prie, fit l’officier décidément vaincu et maté. Devrais-je surveiller la correspondance et les entrevues du prisonnier?

– C’est inutile, mon enfant, je sais à qui il pourra écrire et ce qu’on pourra lui dire. Adieu, mon enfant.

Le baron se dirigea vers la porte, appela un de ses hommes, et, de son air dédaigneux, laissa tomber:

– Laissez passer cet homme!

M. Jacques sortit comme il était entré, en faisant force révérences.

À l’étage du dessous, il retrouva du Barry qui l’attendait impatiemment.

– Mon cher comte, fit M. Jacques en le voyant conduisez-moi vers… – ici un nom murmuré à l’oreille de du Barry. – Vous serez libre ensuite.

Docilement, le comte le conduisit jusqu’à la porte du personnage désigné où il le laissa entrer, et se retira définitivement.

Le personnage que M. Jacques venait visiter ainsi avait le grade de lieutenant-général dans les armées du roi. Il avait de plus un poste à la cour puisqu’il occupait un appartement au château. Ce personnage reçut pourtant son visiteur avec les marques d’un respect évident.

M. Jacques pourtant ne lui dit que quelques mots qu’il laissa tomber comme un ordre:

– Marquis, vous avez sous vos ordres le baron de Marçay. Ce jeune homme me paraît avoir des scrupules… Surveillez-le de très près… Vous me répondez de lui.

Sur cet ordre bref, le mystérieux bourgeois quitta à son tour le château.

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