croit moi quand tes larmes de sang se versent
des larmes de tristesse je verse
je poids de tes actes parfois ma poignardent
et j'garde cette plaie profonde enfouie en moi
en fuyant le mal qui sur nous s'acharne part pas et s'attarde
a l'imade de ton ombre soufrant en silence
et si j'laisse tourner les pages de ta vie
j'lis des sales récits hélas
des trace indélébiles dessinent sur mon visage ta detresse
le temps efface peu à peu le peu d'bonheur
ton absence sonne si bien avec ma soufrance, mon malheur
mon âme pense et j'retiens chaque jour un peu plus mes pleurs
ya pa d'sens souvent dans c'que les miens font
ma douleur c'est de savoir sans pouvoir rien faire a-mi proche de la peur
ma frayeur c'est d'jamais vivre avec toi des jours meilleurs
vivre au présent l'temps pressant sans aller nul par ailleur
derriere chaque une femme souffre
quand ton destin t'pousse dans l'gouffre
j'étouffe emprisonnée rêves empoisonnés rempli de souffre
hé bonhomme a chaque fois qu'tu m'ment
c'est moi qui souffre
à chaque fois qu'tu m'trahi et que j'l'apprend
c'est moi qui souffre
à chaque fois qu'tu m'dis j'suis dans la merde
c'est moi qui souffre
à chaque fois qu'tu m'délaisse jai peur de t'perdre
c'est moi qui souffre
à chaque fois qu't'assume pa d'être père
c'est moi qui souffre
à chaque fois qu'tu l'fais croire et que j'espere
c'est moi qui souffre
derriere chaqu homme une femme souffre
et cette fois c'est moi qui souffre
et pourtant j'taime et j'te soutiendrai jusqu'à ton dernier souffle